Stéphane le mécano a un peu de temps à m’offrir (et surtout ses compétences en génie carrositique) et moi, ben j’ai très peu de clients malheureusement, du coup, on si met à fond.
Au programme :
En premier, pose des tôles qui vont servir de gabarit et de support des extensions d’ailes. Regardez les photos, ce sera bien plus parlant. Ensuite, on s’occupe de la disparition des portières, pour cela pointage de celles-ci puis collage bouchage des parties creuses pour pouvoir à la fin mastiquer par-dessus.
Le pavillon a été également préparé ! Sur l’arrière de celui-ci, on y a prévu une forme pouvant recevoir les feux obligatoires mais aussi un radiateur d’huile. Puis, si l’on regarde sur le dessus, une écope a été faite pour cette fois ci recevoir le radiateur moteur qui se trouvera donc à l’arrière !
Bien sûr en même temps, on réfléchit à la suite de préparation du master, car il fait penser à la réalisation du moule, et surtout au fractionnement de celui-ci pour permettre le démoulage. Ce n’est pas si simple.
Hier, je me suis consacré au remplissage des zones creuses et que je souhaite devenir pleine (logique non !!)
Surtout sur l’arrière pour rigidifier la carrosserie. Avec des tôles soudées, de la choucroute (mais sans les saucisses !!) Puis de la mousse expansive.
Je continue également la mission disparition de portière ! En remplissant, les creux entre celles-ci et la carrosserie à la mousse expansive.
Une fois bien sèche et dure, je la coupe ponce un peu puis donne la forme définitive au mastic, mais ce sera plus tard ….
Et j’attaque la mise en forme de l’élargissement de la carrosserie !
Là encore, j’utilise de la mousse expansive ! Que je colle sur le gabarit (que l’on avait fait en tôle) et sur la caisse.
Après un premier séchage, je vais faire une découpe rapide au cutter, puis si la forme me plait. Finition au mastic, si ça ne va pas seconde couche etc etc
Cela prend du temps car la mousse met beaucoup de temps à durcir à cœur !
Et mon atelier n’étant pas chauffer, la choucroute durcie très lentement !!
Rédigé par Cédric Kalvas